ASSEMBLÉE GÉNÉRALE le jeudi 28 mars 2024 à l'Institut d'Optique et appel à candidatures
(Crédit vidéo : SupOptique Alumni)
Nous avons le plaisir de vous convier à l'Assemblée Générale Ordinaire de SupOptique Alumni
le jeudi 28 mars à 18 heures
(émargement à partir de 17h30)
qui aura lieu à l'Institut d'Optique GS à Palaiseau et qui sera suivie d'un cocktail dinatoire
S'INSCRIRE A L'ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DU 28 MARS 2024
L'invitation à l'Assemblée générale 2024 | L'Appel à candidatures pour le Conseil d'Administration |
ORDRE DU JOUR
- 18h00 – Accueil par François-Hugues Gauthier(76), Président
- 18h10 – Rapport d’activité par François-Hugues Gauthier
- 18h25 – Rapport financier par Pascal Cordier (86), Trésorier
- 18h45 – Renouvellement du Conseil d’Administration par François Mathieu (90), Vice-Président
- 19h00 – Lancement de la célébration du Centenaire de l'Association par Thierry Dupoux (91), Secrétaire Général
- 19h15 – Exposé de Lucie Leboulleux* (promo 2015), "Comment voir d'autres mondes ? Enjeux et limites des imageurs d'exoplanètes"
- 20h00 – Questions diverses
- 20h15 – Cocktail dinatoire
LES INSCRIPTIONS SONT OUVERTES ( inscription obligatoire, dispositif Vigipirate )
Au plaisir de vous retrouver toutes et tous pour ce moment convivial !
Lucie LEBOULLEUX *Chargée de Recherche à l'Institut de Planétologie et d'Astrophysique de Grenoble (IPAG) En 2019, le Prix Nobel de Physique récompense la découverte, en 1995, de la première exoplanète orbitant autour d’une étoile type Soleil et jette la lumière sur cette thématique en expansion : la recherche d’autres mondes. Aujourd’hui, plus de 5000 planètes ont été découvertes, bien qu’aucune ne ressemble à la seule que l’on sait être habitée : la nôtre. Pour chercher ces autres mondes, de nouveaux télescopes, géants, sont en cours de développement. Parmi eux, le Habitable Worlds Observatory de la NASA, à 10 milliards de dollars et d’au moins 6 m de diamètre, devra permettre, vers 2040, l’observation et l’analyse d’au moins 25 exoplanètes similaires à la Terre avec l’espoir d’en découvrir une où la vie - telle qu’on la comprend - aurait pu se développer. Cet objectif représente un véritable défi technologique puisqu’il nécessite la conception, dès aujourd’hui, d’instruments optiques aux performances inégalées.
Biographie Largement mentionnée dans la culture populaire, la question de la présence potentielle de vie ailleurs couvre de nombreux champs de recherche et guide mes travaux : comment permettre aux futurs télescopes, au sol et dans l’espace, d’atteindre les performances extrêmes requises à la détection d’exoplanètes similaires à la Terre ? J’aime à m’appeler « médecin pour télescopes » : j’interviens lorsqu’il y a un souci et qu’un télescope a des défauts l’empêchant d’être pleinement performant et de voir d’autres mondes. J’ai eu l’occasion de pratiquer ma médecine sur plusieurs télescopes : l’Observatoire Gemini Sud (Chili), le Télescope Subaru (Hawaï), le Télescope Spatial James Webb (spatial)… Malgré sa popularité, l’astronomie a les défauts d’une science qui reste inaccessible au plus grand nombre : pour favoriser l’ouverture du milieu et casser les préjugés, je suis aussi très investie en diffusion scientifique, notamment auprès des écoles rurales et des jeunes femmes. |
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